Accompagnement à la scolarité
Accompagnement à la scolarité
Lutter pour garantir l'égalité des chances, faire en sorte que chaque jeune puisse construire son avenir professionnel et réussir sa vie en société sont nos missions d'éducation populaire complémentaires à celles de l'école.
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Face à l’échec scolaire, de nombreux jeunes finissent par se démobiliser et se mettent à douter de leurs capacités mais aussi du système scolaire qu’ils associent comme la cause de leurs souffrances. Cela peut être renforcé au sein de familles qui ont-elles-mêmes eu un rapport difficile avec l’école ou qui ne sont pas assez étayées pour aider leurs enfants. Il peut alors être opportun qu’un acteur extérieur à l’école vienne aider le jeune et lui redonne confiance en lui et en son avenir à l’école.
Concours d'Eloquence au sein des Quartiers Prioritaires de la Ville
Règlement du jeu: Cherchez les réponses dans l'histoire ci-après, ensuite notez les sur le coupon-réponse et puis déposez ce dernier au stand de l'association AVEC au lieu de la Kermessequi aura liru le samedi 15 juin à la Place du Marché à Vandoeuvre-lès-Nancy.
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Attention, seules les dix réponses exactes, accompagnées du code, seront validées pour le tirage au sort qui aura lieu à 16h30.
A la clef, trois cadeaux-surprise à remporter! A vous de jouer !
L'histoire de Vand'Artistes
Jusqu’en 1918, les derniers éveilleurs de merveilles faisaient rêver les habitants… Quand l’hiver était là, accompagné de sa mélancolie et de la grisaille… les gens se sentaient souvent abandonnés, les femmes surtout… les hommes et les grands fils parcouraient les champs de bataille, il n’y avait plus de joie ni de vie dans le village… parfois le sculpteur déposait sur la place une statue représentant un voisin ou un animal perdu… d’autres fois, le peintre réalisait une scène de la vie courante sur une façade, ou le paysagiste parsemait quelques fleurs par ici ou par là… il leur fallait rendre la vie meilleure… face à la solitude des habitants, ils s’autorisaient à dire : « Avec nous, vous n’êtes pas seuls (Code : 9-T) ».
Lorsque la guerre fut terminée… aucun des artistes partis ne remit les pieds dans la bourgade… On créa l’Association de Fouille des Artistes Partis Ailleurs (AFAPA) qui chercha jusqu’en 1986 (Code : 2-O) les anciens… mais on ne les retrouva jamais…
Le village avait grandi, il était devenu Ville… Le nouveau Maire, soucieux de retrouver l’âme perdue de l’ancien village, signa avec l’association un Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité (Code : 7-R) pour ouvrir une école d’art.
Beaucoup d’élèves ont profité de cette école… ils ne se doutaient pas que l’ambition du Maire était de retrouver des artistes dignes de ce nom… et de revivre l’âge d’or du village.
Des Olympiades des arts et des sports furent créées et beaucoup d’élèves furent pris en Ligue A (Code : 8-I) ; l’honneur de la Ville fut sauvé !
Et un jour…. 100 ans plus tard, le 2 février 2016 (Code : 1-S), plusieurs artistes sont revenus à Vandoeuvre ! Discrètement, des habitants avaient retrouvé les pères des chefs d’œuvres ! Sur les conseils des citoyens de la Ville, plusieurs artistes sont revenus Vendre leurs Œuvres…
Il y a plusieurs années, ce village s’appelait « Vend d’œuvres » et le village voisin se nommait « Veiller » (car il veillait sur les œuvres) tous les deux proches de Nancy… et les années passant, les noms d’origines ont été oubliés… cependant le souvenir de leur union est resté gravé dans le blason de la Ville en lettre gothique… deux V d’argent en souvenir des artistes oubliés.
Il était une fois, une petite bourgade qui avait changé de nom et qui s’appelle aujourd’hui Vandoeuvre…
Ce petit village était réputé pour la qualité de ses artistes. Peintres, Sculpteurs, jardiniers et autres ménestrels se partageaient AVEC (Code : 6-A) gaieté, leurs savoirs faire…Les touristes de passage pouvaient facilement acheter l’une des 80 (Code : 4-I) œuvres mises en vente chaque semaine…
La bourgade était réputée pour cela, on venait des quatre coins du monde pour venir acheter les œuvres…. Chacun repartait toujours avec un souvenir merveilleux : un tableau, une statue, un arbre taillé…etc…
Malheureusement, cette harmonie n’allait pas durer… le 2 février 1916, alors que la guerre faisait des ravages, le Maire (Code : 5-D) dû prendre une décision radicale : il faut sauvegarder et protéger l’art du village…
Ainsi, le même jour, presque tous les artistes ont quitté le bourg, apportant avec eux leurs connaissances et leurs talents …
Six artistes, sans doute un peu fous, sont néanmoins restés… mais pour éviter que l’envahisseur allemand ne puisse les faire prisonniers, le Maire leur demanda de se limiter à faire 5 (Code : 3-L) œuvres chacun. Ainsi les rares touristes ne pourraient s’offrir que 20 (Code : 10-E) œuvres par an… et celles qui n’étaient pas vendues, faute d’acheteurs, furent envoyées à Veiller, le village voisin, dont on changea le nom quelques années plus tard, afin que les sages puissent veiller sur elles.